Une fois de plus, les contribuables japonais doivent se demander pourquoi ils financent encore cette campagne de massacre, une imposture qui ne relève aucunement de la science, qui alimente un marché en plein déclin et qui discrédite totalement leur pays sur le plan international.
Pendant 14 jours, jusqu'à samedi dernier, et sur une distance de 4 300 milles, l'Esperanza, le navire de Greenpeace, a suivi la flotte de chasse japonaise, l'empêchant ainsi de chasser.
Les chasseurs, pour atteindre leur quota d'environ 1,000 baleines sur la saison, capturent en moyenne chaque jour approximativement 9 petits rorquals et un rorqual commun. Grâce aux à l'opération de Greenpeace, 100 baleines ont ainsi pu être sauvées.
Alors que l'Esperanza, en pénurie d'essence, est de retour au port en Tasmanie, la question de la chasse à la baleine est au cœur du débat public au Japon. Le Premier Ministre Fukuda a été contraint de s'exprimer sur cette question au Parlement.
La campagne émerge enfin des eaux profondes et connaît un vrai retentissement.
Greenpeace vient par ailleurs de lancer une opération de mobilisation pour pousser Canon, entreprise leader en matière de matériel photographique et connue pour ses engagements sur les causes environnementales, à exprimer son opposition à la chasse ; 42 000 personnes, partout dans le monde, ont déjà envoyé un e-mail à Fujio Mitarai, PDG de Canon au Japon, l'appelant à s'exprimer et à se positionner contre la chasse baleinière. M. Fujio Mitarai est également à la tête de l'influente Fédération japonaise des Affaires. Sa prise de position publique pourrait être décisive.
Faites pression sur M. Fujio Mitarai, président de Canon
Pendant 14 jours, jusqu'à samedi dernier, et sur une distance de 4 300 milles, l'Esperanza, le navire de Greenpeace, a suivi la flotte de chasse japonaise, l'empêchant ainsi de chasser.
Les chasseurs, pour atteindre leur quota d'environ 1,000 baleines sur la saison, capturent en moyenne chaque jour approximativement 9 petits rorquals et un rorqual commun. Grâce aux à l'opération de Greenpeace, 100 baleines ont ainsi pu être sauvées.
Alors que l'Esperanza, en pénurie d'essence, est de retour au port en Tasmanie, la question de la chasse à la baleine est au cœur du débat public au Japon. Le Premier Ministre Fukuda a été contraint de s'exprimer sur cette question au Parlement.
La campagne émerge enfin des eaux profondes et connaît un vrai retentissement.
Greenpeace vient par ailleurs de lancer une opération de mobilisation pour pousser Canon, entreprise leader en matière de matériel photographique et connue pour ses engagements sur les causes environnementales, à exprimer son opposition à la chasse ; 42 000 personnes, partout dans le monde, ont déjà envoyé un e-mail à Fujio Mitarai, PDG de Canon au Japon, l'appelant à s'exprimer et à se positionner contre la chasse baleinière. M. Fujio Mitarai est également à la tête de l'influente Fédération japonaise des Affaires. Sa prise de position publique pourrait être décisive.
Faites pression sur M. Fujio Mitarai, président de Canon
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